Bon ça n’a pas de lien direct avec le ciné (quoi que… les droits viennent d’être achetés).
Ce bouquin se lit à une vitesse supersonique! C’est une petite bombe. Un bouquin d’été quoi.
Un polar cinéphile à la sauce Tarantino à acheter d’urgence (je peux prêter).
Ma “liseuse” est déjà remplit à ras-bord.
Dommage… ;D
Si ça le lit vite, mais alors très vite, je veux bien ! Car j’ai moi aussi une tonne de bouquin à lire. Entre autre des bouquins de théorie du ciné pas très très drôle…
3 jours c’est fait! Mais là tout de suite il est en prêt… Je te redis ça.
Purée je voulais le prendre sur mon Ipad, pour voir si c’est confortable de lire dessus mais 16 € … ils ont fumer la version papier est à 7 € je vais rester sur celui que tu ma passer 
C’est pas confortable de lire sur l’iPad.
Ecran retro-eclairé oblige de toute façon… :-\
Oui mais c’est surement mieux que de lire un livre avec un éclairage merdique comme c’est le cas chez moi.
Pas faux… je pense que tu y a déjà pensé quand même, mais tu ne peux pas installer une lampe de chevet ? (ou une allogène, quoique avec nos 1200 hecto pascal c’est pas le moment… xD)
J’en ai une mais elle éclaire pas assez et en gros pour expliquer la situation j’ai mon éclairage en face de moi donc le livre fait de l’ombre sur le texte et ma lampe de chevet qui est à ma droite éclaire pas des masses et je suis limite toujours pencher pour lire correctement ce qui aide pas. Il faut que j’installe une lampe sur le mur derrière moi sans abimer le stiker qui dessus, compliquer
vais sûrement finir par me l’acheter celui-la. Allez, dès que je trouve la librairie je me lance !
Je vais à la fnac en quête de bouquins de Lettre. A peine gravis la montagne de l’escalator, boum, une jaquette avec un petit air de déjà vu.
Au final, il me manquera un livre de Sophocle, mais je sortirais avec sous le coude LE LIVRE SANS NOM et DREAM HOME. Dès que j’ai le temps, je lis et regarde tout ça !
De nombreux EVAistes convertis depuis! Nadine qui a adoré, Jérémie qui l’a avalé en 2 jours, et Glenn qui attend juste une lumière…
Un film à voir à plusieurs (avec de la bière ;D)! Un cat III nostalgique de la rétrocession d’Hong Kong. Jubilatoir.
J’ai commencer à le lire sans lumière
Ma pensée ne différait pas !
Bon bas fini 
C’est bien!
Reste plus qu’à boire un verre de Bourbon… 
Pas commencé…
Mais hier j’ai vu Dream home ! Ahah, vraiment très singulier parmi les films de genre. Cette beauté dans l’image soignée, cette volonté d’apporté un sens au meurtre, ce retour sans cesse au passé au point parfois d’embrouillé et ce sens du suspense (juste après qu’elle ouvre la porte au flic… ). Un film finalement très violent et gore à souhait (jouissif quoi ! Désolé pour Nadine mais LA scène en question est géniale!), mais avec cependant très peu de scènes de meurtres. Quantitativement maigre, mais qualitativement fort ! Et c’est cette originalité qui fait sa force. Rare sont les slasher où la psycho du tueur est aussi mise à nue.
Les BA US et française sont catastrophiques (comme souvent pour les films asiat) : elles racontent tout. En revanche, je viens de tomber sur une petite perle! La version UK. Très respectueuse du film, à tout point de vue.
On goûte à cette très belle photo, ce rythme tout en rupture, cette violence poussée au paroxysme qui frôle le mauvais goût sans jamais y sombrer. Forcément un film qui dérange et divise. Et moi j’adoooooooore!
[flash=500,298]http://www.youtube.com/v/zNmWzGFRfH0?version=3&hl=fr_FR[/flash]
J’ai vue l’une des BA c’est vrai que l’on voie beaucoup de chose même si je n’ai pas vue le film, il y a des scènes qui me semble gâcher par cette BA.
Sinon de se que j’ai lut les critiques sont assez dure avec lui surtout niveau scénar.
Variable.
Et (selon moi) à replacer dans un contexte géopolitique.
Historiquement Hong Kong est une ancienne colonie britannique qui bénéficie jusqu’au milieu des années 90 de grandes libertés (économique, morale , politique) par rapport au reste de la Chine. Hong Kong est tout simplement le 3ème pole cinématographique de la planète! De très grands réalisateurs (John Woo pour ne citer que lui) s’imposent dans le monde entier. Un cinéma riche et varié qui s’exporte très bien. Fin des années 80, début des années 90, la moitié des films Hong Kongais sont des catégories III : films subversifs exclusivement réservés aux adultes qui mêlent violence sexe et même parfois politique à un niveau rarement atteint. Loin d’être un sous-genre la cat III constitue une explosion de jeunes talents et d’oeuvres vraiment singulières. A cette époque, j’ai 20 ans et je commence à me passionner pour le cinéma asiat (pas que les cat III… :P). Nostalgie…
Puis arrive la rétrocession… 1997 Hong Kong redevient chinoise à 100%.
C’est un coup de tonnerre pour la liberté! La censure arrive, les réalisateurs s’exportent. La cat III disparaît aussi vite qu’elle est arrivé.
Et nous voilà 15 ans après avec Dream Home qui est un film absolument réjouissant de part le contexte décrit précédemment. Outre ses liens évidents et complètement assumé par Pang Ho-cheung avec la cat III, le film possède une vraie dimension socio-économique qui pour une fois est à contre-courant du rouleau compresseur chinois…
Un film incontournable réalisé par un mec de 38 piges!